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Hana Kimura : Un drame révélateur de tensions sociales

  • 23 mai 2025

Le 23 mai 2020, le monde du catch perdait une de ses âmes les plus brillantes. Hana Kimura, étoile montante de la Stardom, mettait fin à ses jours à l’âge de 22 ans après avoir été victime d’une vague de harcèlement en ligne suite à sa participation à une émission de télé réalité. Éclairage sur un drame révélateur des tensions auxquelles se voit confrontée une société japonaise particulièrement sujette aux crispations face à des transformations qui participent à faire évoluer son identité.

Malgré des racines diverses et des influences historiques multiples, la nation japonaise contemporaine persiste à se penser comme un bloc. Un bloc immuable. Un entre-soi pilier d’un ordre social constitué autour d’une culture traditionnelle à préserver. À maintenir pure. Des principes d’harmonie fortement ancrés dans un récit national vantant les mérites d’une unicité bénéfique au collectif.

Ces positions nationalistes marquées ont tenu l’épreuve du temps. Contrairement à la plupart des nations touchées, le Japon n’a pas eu recourt à l’immigration durant son processus de reconstruction et d’industrialisation après la seconde guerre mondiale. Un repli sur lui-même valorisé, renforcé par son caractère insulaire qui cultive un rapport à l’étranger mêlant fascination et rejet.

Face aux exigences de la mondialisation, les politiques japonaises ont amorcé un début d’ouverture sur le monde à la fin du 20ème siècle. Rattrapé par la réalité de sa démographie, l’archipel impénétrable s’est retrouvé dans l’obligation d’ouvrir ses frontières pour palier à un manque de main-d’œuvre provoqué par le vieillissement extrême de sa population. Si l’immigration choisie est dorénavant encouragée pour faire face à une croissance économique en baisse, elle n’est pas pour autant accueillie à bras ouverts et la société nippone se montre réfractaire à faire exister politiquement et socialement les revendications des minorités. Les chiffres demeurent marginaux dans un pays où 97% des résidents sont natifs, mais leur augmentation constante participe malgré tout à questionner les fondements identitaires de la nation. L’émergence de personnalités publiques comme Naomi Osaka, star du tennis, ou Ariana Miyamoto, Miss Japon 2015, font apparaître de vifs débats et les questions d’assimilation, d’héritages multiculturels et surtout de mariages binationaux constituent autant de points de tension au sein d’un peuple qui peine à accepter sa pluralité nouvelle. Une pluralité davantage vécue comme une altérité.

C’est dans ce contexte que s’est contruite Hana Kimura, née en 1997 à Yokohama. Car oui, Hana est elle aussi une hafu, anglicisme basé sur le terme «half» utilisé au Japon pour désigner les enfants nés d’un parent étranger. Fille de la catcheuse Kyoko Kimura et d’un père indonésien, Hana incarne une identité métissée dans un pays érigeant l’homogénéité ethnique en valeur repère. Quand d’autres sociétés parlent de richesse et de double culture, le Japon ne parle que de pourcentage. Toute sa vie, Hana n’aura été qu’une moitié. Une moitié qui ne suffit pas à atteindre la respectabilité totale. Comme quelques millions d’autres personnes, elle est vue comme une existence moindre. Un élément perturbateur à la cohésion de l’ensemble. Une sous-japonaise. Partielle. Incomplète.

Le terme hafu succède dans le langage courant japonais à celui de konketsuji, évoquant les enfants de sang-mêlé ou « enfants maudits » nés pendant l’occupation américaine entre 1945 et 1952. S’il est moins chargé en connotation négative, il demeure réducteur voire excluant. Sa mère témoigne d’une enfance marquée par ce stigmate et de la souffrance constante de sa fille face à cette appellation et les comportements discriminatoires qui en découlent depuis son plus jeune âge. Des origines fréquemment questionnées, moquées et stigmatisées. Pour s’en défaire, Hana a choisi de suivre la voie maternelle et de rejoindre l’univers du catch. Une plateforme d’expression idéale pour extérioriser et transmettre les émotions bouillonnantes dont elle déborde.

Hana Kimura entrance

Dès 2015, elle s’entraîne auprès de Kaz Hayashi dans le dojo de la Wrestle-1 et arpente moins d’un an plus tard les rings de plusieurs promotions japonaises. C’est à la Stardom qu’elle connaîtra ses plus grands succès, rejoignant le clan fondé par sa mère : Oedo Tai. Ensembles elles vaincront notamment le trio composé de Mayu Iwatani, Kairi Ojo et Io Shirai, et enchaîneront les victoires de prestiges. Des marques de confiance de la part d’une structure qui voit en Hana l’avenir.

Hana Kimura, c’est un vécu à fleur de peau qui trouvera son sens dans le catch, utilisant ses expériences et cicatrices personnelles pour donner vie à un personnage aussi fascinant qu’inspirant. Travailleuse et persévérante, elle s’illustre par son talent mais surtout par une aura exceptionnelle. Un pétale dans le vent qu’on ne peut s’empêcher de suivre du regard. Sa présence unique touche directement les cœurs et attire les projecteurs. Des projecteurs qu’elle souhaite expérimenter à travers le monde. En 2018, une excursion la voit passer par la CMLL, la Ring of Honor et la Pro Wrestling EVE, l’aidant à franchir un palier dans une ascension que l’industrie entière voit désormais comme inévitable.

Heel depuis ses débuts, elle quitte Oedo Tai en 2019 pour voler de ses propres ailes et mener sa propre faction. Cheveux teints en rose, elle crée Tokyo Cyber Squad. Un groupe à son image. Un hymne à la diversité. Une bande de jeunes femmes marginalisées adoptant volontiers une esthétique cyberpunk futuriste aux couleurs tape à l’œil pour crier leur différence. Un espace d’acceptation pour les oubliées, exclues et parias, défini par un mantra teinté d’espoir: « Everyone is different, everyone is special ». Accepter tout le monde, n’oublier personne et affirmer sans honte son identité. Se battre pour faire valoir des valeurs d’inclusion et faire vivre des existences plurielles.

Hana fait de son masque à gaz sa marque de fabrique, comme pour se protéger de la toxicité des attaques discriminatoires qu’elle subit depuis sa plus tendre enfance.

Hana Kimura se mue en étendard d’un mouvement et trouve sa mission dans la propagation de celui-ci. Un mouvement qui va la propulser au sommet lorsqu’elle remporte le 5Star Grand Prix 2019, inscrivant son nom aux côtés de Mayu Iwatani, Toni Storm, Nanae Takahashi, Kairi Ojo, Giulia ou encore Io Shirai. Malgré les artifices, elle se présente enfin tel qu’elle est profondément. Avec ses failles, ses faiblesses et des plaies ouvertes qu’elle aspire à refermer en embrassant sa singularité devant un public qui ne cesse de grandir. Une ténacité délicate et éclatante qui transforme chacune de ses prestations en de véritables tourbillons émotionnels. Écorchée vive et captivante comme très peu l’ont été avant elle, on retrouve ses blessures dans sa proposition, ses luttes dans son regard. Un regard qui, malgré tout, appelle à l’amour. Aussi résiliente que vulnérable, Hana fait de son masque à gaz sa marque de fabrique, comme pour se protéger de la toxicité des attaques discriminatoires qu’elle subit depuis sa plus tendre enfance. Un bouclier protecteur. Sa bulle.

Une bulle qui la protègera du monde réel, mais pas du monde virtuel.

Surfant sur sa nouvelle notoriété, elle participe à la cinquième saison de l’émission de télé réalité Terrace House diffusée sur Netflix et Fuji TV. Un programme extrêmement populaire au Japon mettant en scène six personnalités partageant un même lieu de vie. La particularité de l’émission réside dans le fait que les protagonistes sont autorisé·e·s à évoluer en dehors de la maison, à se rendre à leur travail, à rester en contact avec leurs proches, à conserver leur téléphone portable. Une plongée dans leur vie réelle qui constitue le succès du concept. Hana Kimura y voit l’opportunité d’introduire le monde au sien et de mettre en avant les spécificités du quotidien d’une catcheuse. Elle devient à l’échelle nationale la porte d’entrée vers une profession singulière qui suscite l’intérêt des spectateurs et de ses nouveaux colocataires. C’est avec une personnalité affirmée et attachante qu’elle évoque avec fierté sa passion et dévoile au fil de ses relations l’aspect créatif de son activité, présentant notamment aux candidats ses costumes qu’elle décrit comme des extensions de son identité.

Son destin va prendre une tournure tragique lorsqu’un épisode quasiment entièrement consacré à sa dispute avec Kai, le colocataire dont elle est le plus proche, est diffusé en mars 2020. Le jeune homme lance une machine à laver sans se soucier de son contenu et fait rétrécir la tenue qu’elle portait au Tokyo Dome quelques mois plus tôt pour le premier match féminin dans l’enceinte mythique depuis 18 ans. Un événement cher à Hana dont l’unique souvenir matériel s’envole devant les yeux du pays entier. Hana, dévastée, contacte la production et souhaite quitter l’émission. Sa requête est d’abord refusée puis acceptée à condition de mettre en scène une sortie violente, la production espérant créer un moment viral. Hana refuse et se contente de faire voler la casquette du fautif après avoir éclaté en sanglots devant le manque d’empathie de la maison face à son désarroi. Un geste orchestré qui va avoir des conséquences dramatiques sur sa perception publique. Au Japon, on parle de « wa », un principe d’harmonie collective qui invite la population à se comporter de manière conforme aux normes sociales, à ne pas se faire remarquer et à éviter les conflits. De nombreux éléments de contexte sont coupés au montage et la jeune femme, décrite comme colérique et antipathique, fait l’objet d’insultes et de menaces de mort.

Ces propos injurieux, qu’elle estime à une centaine par jour, prendront rapidement un caractère raciste, la renvoyant à ses origines indonésiennes. Des messages de haine reflets d’une société japonaise d’apparences et d’une acceptation de façade des minorités. C’est sur les réseaux sociaux, sous couvert d’anonymat, que les langues se délient et que les peurs identitaires se déchaînent. Patrick Simon, sociologue et démographe français, souligne dans ses travaux les discriminations structurelles qui pèsent sur les populations immigrées. Celles-ci sont spécifiquement soumises à des attentes implicites qui conditionnent la réussite de leur intégration à la société majoritaire. Une injonction à ne pas faire de vagues dont Hana se retrouve la principale victime.

Après plusieurs messages de détresse et actes d’automutilation, fragilisée par les séquelles du cyberharcèlement et éloignée de son cercle de soutien en raison du confinement lié à la pandémie de COVID-19, Hana Kimura ne trouve plus la force pour danser sous les critiques et poste un dernier message sur Twitter le 22 mai 2020. Un message comprenant deux photos d’elle, accompagnée de son chat, en guise d’adieux à un monde dont elle ne supporte plus la cruauté.

À la découverte de ce drame, le Japon se réveille sonné et se voit une fois de plus confronté à ses manquements. Les insuffisances de son cadre juridique sont pointées du doigt et de nombreuses voix s’élèvent pour réclamer des changements législatifs. L’événement bouleverse le pays et la colère gronde lorsque des peines très légères sont prononcées contre deux des hommes accusés d’avoir insulté la jeune célébrité. C’est après un combat de deux ans mené par la mère d’Hana que le ministre de la justice, Yoshihisa Furukawa, adopte une loi contre le cyberharcèlement, reconnaissant la responsabilité pénale des personnes tenant des propos à caractère hostile sur les réseaux sociaux. Depuis 2022, le délai de prescription des victimes pour porter plainte est étendu à trois ans et les condamnations peuvent aller jusqu’à un an de prison ferme et une amende de 300 000 yens, soit environ 2200 euros. Un durcissement des peines que la justice espère suffisamment dissuasif pour endiguer le phénomène. Une répression à laquelle s’ajoute une politique de sensibilisation et de prévention accrue, portée par la fondation crée par Kyoko Kimura, Remember Hana.

Remember Hana, c’est ce que le monde entier se charge de faire depuis cinq ans. Un show en son honneur est organisé le 23 mai de chaque année et les hommages se multiplient aux quatre coins du monde, de la tenue de Mercedes Moné pour ses débuts à la NJPW au katana arboré par sa protégée Rina, en passant par les tresses et le titantron de Giulia et les témoignages d’affection délivrés par Kenny Omega, Dakota Kai ou Jamie Hayter.

Souvent qualifiée d’étoile filante du catch, Hana Kimura est pourtant devenue tout l’inverse : éternelle. Si son passage sur cette terre est resté éphémère, son sourire radieux et sa présence magnétique laissent derrière elle un faisceau lumineux qui rayonne encore sur sa discipline. Devenue symbole mondial des ravages provoqués par le cyberharcèlement, son histoire a suscité une prise de conscience tardive mais nécessaire, contribuant à faire évoluer le Japon sur la question des abus numériques, de la prise en charge des victimes mais aussi sur la responsabilité des médias et les conséquences psychologiques de leurs choix éditoriaux. Les réformes légales, l’interruption de l’émission Terrace House et une amorce de réflexion collective témoignent d’un virage dans la manière dont le pays aborde les problématiques de santé mentale, d’inclusion et de violence en ligne. Faire vivre la mémoire d’Hana Kimura c’est aussi inviter à la bienveillance, à l’ouverture et à la compassion en l’honneur d’une existence qui n’aura jamais cessé de promouvoir l’amour et d’en être la principale pourvoyeuse. À l’image du nouveau masque à gaz qu’elle s’apprêtait à porter lors de ses apparitions futures, floqué de quatre lettres : LOVE.

Texte : Le Dernier Rang
Fondation Remember Hana : www.rememberhana.com
Crédit photos : World Wonder Ring Stardom

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