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Mistico : la lucha libre et le rapport au sacré

  • 11 juillet 2025

Phénomène culturel reflétant les dynamiques sociales d’un pays aux influences plurielles, la lucha libre occupe une place conséquente dans l’identité mexicaine. Par sa relation complexe et multidimensionnelle avec le sacré, elle offre une fenêtre sur les aspirations, les luttes et les rêves de la nation entière. En un siècle d’existence, elle n’a eu de cesse de lui fournir ses idoles. Mistico en est l’exemple contemporain le plus poignant. À travers lui se tisse une relation aussi intime qu’intense entre le peuple et ce spectacle populaire où se mêlent croyances, performances sportives, représentations théâtrales, dynamiques de pouvoir, héritages indigènes et revendications identitaires.

Le catch résonne différemment à travers le monde. Chaque région du globe entretient un rapport singulier à la discipline. Au Mexique, le niveau d’engagement émotionnel du public lui confère un caractère proche du religieux. En 2024, lorsque Mistico fête ses 20 ans de carrière dans une Arena Mexico pleine à craquer, ce ne sont pas des fans qui la remplissent, ce sont des fidèles. Une scène saisissante, similaire à une cérémonie de culte, illustration vibrante du lien entre une population et son héros, qui trouve ses racines un siècle plus tôt, aux premiers pas de la lucha libre.

La pratique voit le jour au début des années 1930, sous l’impulsion de Salvador Lutteroth, fondateur de l’Empresa Mexicana de Lucha Libre (EMLL). Amateur de catch américain, il lui arrive fréquemment de se rendre de l’autre côté de la frontière pour assister à des spectacles à El Paso, au Texas. Son pays fraîchement sorti d’une décennie de révolution, il voit en la lutte professionnelle un médium à exploiter et un possible exutoire pour ses compatriotes. L’ambition est simple : transformer les traumatismes du passé en force créatrice et laisser s’exprimer les passions d’un peuple en lutte continue, dont l’histoire contemporaine est caractérisée par une succession d’oppressions.

Le peuple a besoin de crier. De contester. De s’égarer. De croire. La lucha libre lui offre cette opportunité. Et bien plus encore.

Après quatre siècles de colonisation espagnole suivis de guerres contre les États-Unis, de résistance face à l’Empire français et d’une révolution douloureuse pour mettre fin au régime autoritaire de Porfirio Diaz, le Mexique entame sa reconstruction et aborde le 20ème siècle animé d’un profond désir de liberté. Une reconstruction articulée autour d’un sentiment national fort. Des siècles de suffocation ont poussé la société mexicaine à faire valoir son identité afin de préserver sa souveraineté culturelle. Une identité unique, forgée par la résilience de son peuple. Amoncellement d’héritages précolombiens (terme désignant la période précédant l’arrivée des colons en Amérique) à la fois mayas, aztèques et incas, et d’empreintes culturelles et religieuses européennes, elle agit comme un lien communautaire puissant. Des symboles comme la Vierge de Guadalupe, syncrétisme entre catholicisme et spiritualité indigène, ou des traditions comme Dia de los Muertos, le Jour des Morts, illustrent cette mosaïque et sont autant de dénominateurs communs unissant le peuple mexicain en dépit de différences linguistiques et ethniques multiples. Ces croyances font du sacré un lien et sont à l’origine d’un sentiment d’appartenance prononcé, observable dans la littérature, le cinéma, la musique, et rendu visible aux yeux du monde notamment par l’art de Diego Rivera, peintre attitré des gouvernements postrévolutionnaires issus de la gauche nationaliste, reconnu à l’internationale pour ses fresques monumentales, odes à la culture d’une nation, son histoire et ses racines.

Un riche patrimoine culturel auquel la lucha libre va rapidement se greffer. Inspirée par le catch américain, elle s’en distingue immédiatement par une volonté d’affirmation culturelle et identitaire propre. Loin de se limiter à une simple confrontation physique, elle devient un champ de luttes. Dans tous les sens du terme. Un théâtre où s’entremêlent tensions sociales, politiques et quêtes spirituelles. Ce lien viscéral avec le peuple fait de la lucha libre un miroir des enjeux auxquels il se trouve confronté. Son succès instantané est le reflet d’une soif d’émancipation, le terme en lui-même suggérant une liberté de ton et de mouvement qui contraste avec les contraintes sociales du quotidien.

Le peuple a besoin de crier. De contester. De s’égarer. De croire. La lucha libre lui offre cette opportunité. Et bien plus encore. Elle met à sa disposition un espace d’expression et de célébration de sa singularité. Un espace de tous les possibles permettant de se reconnaître mais aussi d’extérioriser et de projeter ses propres rêves et frustrations sur des personnages plus grands que nature. 

Mistico action

C’est ainsi que la lucha libre dépasse le cadre du divertissement pour occuper une fonction. Elle devient un rituel. Le travail de l’anthropologue français Claude Lévi-Strauss décrit ces moments comme permettant de canaliser les tensions collectives et de donner un sens symbolique aux expériences humaines. Assister à un spectacle de lucha libre, c’est assister à la mise en scène d’une métaphore. À la réactualisation moderne de mythes dans lesquels le bien et le mal s’affrontent lors de combats à la portée symbolique totale. Le ring quitte sa fonction première, utilitaire, et devient un espace sanctifié. Un lieu de dualité où se confrontent ces forces opposées, représentées par des figures comparables à celles de personnages mythologiques, les rudos (les antagonistes, qui représentent le vice et le péché) et les técnicos (les héros, incarnant la droiture et la vertu).

La lucha libre s’établie alors comme un espace de spiritualité. Une spiritualité populaire. Les luchadors incarnent des figures héroïques et jouent le rôle d’intermédiaires entre le terrestre et le céleste. Entre le profane et le sacré. Les cris, les insultes et les encouragements forment une chorale qui accompagne le cérémonial liturgique. Les établissements comme l’Arena Coliseo ou l’Arena Mexico, surnommée cathédrale de la lucha libre, deviennent des temples où le public communie dans un mélange d’exaltation, de critique sociale et de catharsis.

Dans le quartier populaire d’Iztapalapa, connu pour être l’un des plus défavorisés du pays, des combats gratuits sont offerts lors du Jour des Morts. La lucha libre y porte un rôle social. Fondateur. Jeunes et vieux·eilles, hommes et femmes, ouvrier·es et étudiant·es se retrouvent le temps d’une soirée pour vibrer au rythme des combats. Les conditions d’existence s’effacent. Pauvreté et corruption restent à la porte. Seul compte le commun. La foule se présente comme une entité, unie par l’émotion brute du spectacle, et le catch se mue en espace de formation identitaire. Il participe à la naissance d’une conscience de classe. Le sociologue mexicain Néstor García Canclini, dans son ouvrage « Culturas híbridas » (1990), propose une lecture de cette pratique culturelle populaire comme un endroit où se négocient les identités dans un contexte de modernité et de mondialisation. La lucha libre incarne l’esprit d’un peuple qui, à travers ses héros, continue de défier les puissants, les mécaniques de pouvoir, les violences systémiques et les injustices qu’elles produisent. Elle devient ainsi le symbole ultime du pays qui l’a enfanté. Une pratique hybride teintée de résilience, profondément politique, empruntant à la fois à une culture populaire, aux super-héros modernes, au catholicisme et à des éléments préhispaniques.

Parmi ces éléments, le masque. Le cœur de la lucha libre. Son marqueur identitaire le plus célèbre et l’un des éléments de la culture mexicaine le plus identifié à travers le monde. Véritable totem de l’identité du lutteur, il exalte ses attributs, transcende son apparence quotidienne pour accéder à une dimension symbolique et le transformer en une figure quasi-divine. Le masque dissimule les traits, accentue la notion d’anonymat et lui attribue une portée universelle. Qu’il soit héros ou anti-héros, il n’est plus un individu mais une idée.

Inspiré de l’imagerie aztèque et maya, le masque renvoie aux traditions précolombiennes. Présent dans le folklore mexicain depuis des millénaires, il est utilisé lors de cérémonies festives, religieuses, funéraires ou guerrières. Porté aussi bien pour incarner des divinités, des animaux totems, des figures religieuses ou des esprits que pour caricaturer les traits des colons européens, ses emplois sont multiples. La lucha libre sert d’extension à l’ensemble de ces coutumes. Elle est un rappel des traditions de son pays. Une gardienne de la pérennité de celles-ci.

Porter le masque, c’est honorer le passé. Souvent transmis de génération en génération, il est une mémoire mais aussi un espoir. Pour Pierre Bourdieu, sociologue français, il devient un outil de légitimation culturelle. La lucha libre et ses masques permettent aux classes populaires mexicaines, souvent marginalisées, de construire un capital symbolique qui valorise leur identité face aux élites. Son homologue mexicain Carlos Monsiváis, dans son ouvrage « Los rituales del caos » (1995), appuie cette théorie en insistant sur le fait que le masque porte en lui une idée de résistance culturelle. Il représente les opprimés, leur donne une voix et leur permet de dépasser des hiérarchies sociales imposées.  

Mistico est le dernier héros à incarner ce transfuge de classe. 

Celui dont le nom évoque mystère et spiritualité s’est imposé comme une icône absolue de la lucha libre mexicaine, rayonnant largement au-delà de ses contours. Né à Mexico en 1982, Luis Ignascio Urive Alvirde est un fils du peuple. Il grandit dans un quartier pauvre et se présente comme l’un des héritiers d’une génération de luchadors, son père et son oncle ayant également lacé les bottes. Comme ses quatre frères, il poursuit la tradition familiale et débute dès l’âge de quinze ans sur les circuits locaux. Il porte alors le nom de son père, Dr. Karonte Jr, et montre des prédispositions physiques et narratives évidentes.

Mistico Templario

Son apprentissage se fera malheureusement dans le deuil puisque son frère, Astro Boy, décède tragiquement. Il choisit de lui rendre hommage en reprenant son nom. De nom, il en changera souvent. En 2004, après une année passée au Japon, à la Michinoku Pro, sous les traits de Komachi (succédant à Volador Jr dans l’incarnation de ce personnage), il est propulsé dans le grand bain national et rejoint la CMLL, plus ancienne structure de catch au monde. Il est baptisé Mistico, un técnico à l’histoire fictive riche. Présenté comme orphelin, protégé de Fray Tormenta, prêtre et luchador de légende, il se démarque par ses capacités athlétiques hors du commun, une aura sublimant chacune de ses prestations, mais surtout une foi prégnante, composante majeure de son imagerie. Le Mexique, deuxième peuple catholique du monde derrière le Brésil, embrasse ce nouveau voltigeur arborant des emblèmes du christianisme sur chaque partie de sa tenue de combat. Son ascension fulgurante se dessine au rythme de ses acrobaties et de ses signes de croix, et la compagnie ne tarde pas à faire de lui sa figure de proue. 

Místico s’inscrit dans la lignée de légendes comme El Santo et acquiert le statut de star nationale. Derrière son masque blanc et doré, il donne vie à un idéal. Celui du luchador comme protecteur du peuple. Místico atteint des sommets rarement égalés, remportant à trois reprises le prestigieux tournoi Leyenda de Plata, hommage à son glorieux aîné. Élu meilleur catcheur de la planète, meilleur voltigeur et plus grande attraction du catch mondial par le Wrestling Observer en 2006, il règne sur le monde. La discipline lui appartient. Les foules immenses qu’il attire le vénèrent. Des bande-dessinées à son effigie son publiées. Mistico devient le représentant de la lucha libre mais surtout d’une forme d’espérance populaire. Son parcours, le menant jusqu’au Japon et la NJPW, émerveille. De jeune homme issu des quartiers modestes à Dieu des rings acclamé et adulé, son destin digne d’une épopée cinématographique fascine.

Cependant, la relation entre Mistico et le peuple mexicain est loin d’être un long fleuve tranquille et les premières perturbations font leur apparition en 2011. Ayant capitalisé sur la popularité mondiale de Rey Mysterio et son potentiel marketing infini, la WWE s’attelle à trouver son successeur. À la recherche de son nouveau héros masqué, elle jette logiquement son dévolu sur celui qui déchaîne toutes les passions au-delà du Rio Grande. Mistico se laisse tenter et rejoint la machine sous le nom de Sin Cara, l’homme sans visage. Sept ans après avoir fait de son masque une seconde peau, il entame une seconde carrière. Une trahison aux yeux de tout un peuple au regard des relations entre les États-Unis et le Mexique. Se produire sous une bannière américaine, c’est accéder à une plateforme mondiale mais, pour beaucoup, c’est aussi se soumettre. Accepter de vendre son héritage au pays qui n’a eu de cesse de vouloir l’exploiter.

Première signature internationale depuis la nouvelle prise de fonction de Triple H, ce dernier a à cœur de mener à bien son projet. C’est donc en grande pompe que Sin Cara débute dans la compagnie de Stamford, au lendemain de Wrestlemania XXVII, le 4 avril 2011. Les moyens alloués sont colossaux, l’entrée épique et les effets de lumières restés (pour les mauvaises raisons) dans les mémoires. L’effort est visible mais la coquille est vide. La volonté de l’entourer de mystère accouche finalement d’un personnage creux et insipide. On ne saura jamais réellement qui est Sin Cara, ce qui l’anime et les motivations de ses actions. Des difficultés de communication, des approximations nombreuses faisant de lui la risée d’un public peu au fait de son statut, et une violation de la politique de la WWE concernant l’usage de substances finissent d’achever les espoirs placés en lui.

Mistico dive

Après trois années d’errance dans le midcard, il est remercié. La star déchue rentre au pays et retrouve le circuit indépendant mexicain avant de signer pour la structure concurrente de celle qui l’a vu éclore, la AAA. Il y performe un an sous le nom de Myzteziz puis de Caristico, contraction de Sin Cara et Mistico, avant de la quitter en raison d’un différend avec Alberto Del Rio. En 2015, il fait son retour à la CMLL. Mais, en son absence, un autre catcheur a endossé le rôle de Mistico (Dralistico, actuellement à la AEW) et ce n’est qu’après son licenciement en 2021 que l’original va pouvoir retrouver son identité. Six années comme autant de témoignages de sa bonne foi et de sa volonté de reconquérir le cœur de celles et ceux qui l’aimaient tant sans brûler les étapes. Sans tricher. Mistico montre sa vulnérabilité et se présente comme mortel. Il est à la fois héros et humain. Bienfaiteur et pêcheur. Porteur d’espoirs et de désillusions.

Vivre. Mourir. Renaître. C’est ainsi que l’on pourrait décrire sa carrière. Sa rédemption revêt un caractère biblique. Son retour au sommet est perçu comme une renaissance. Une deuxième vie qui passionne les foules et gagne les âmes, à l’image de son thème musical de légende, Me Muero, hymne à la dévotion, repris avec toujours plus de ferveur. Voir Mistico à l’Arena Mexico, c’est voir Maradona à la Bombonera. Messi au Camp Nou. Sa simple entrée devient une attraction touristique prisée. Un moment suspendu dans le temps qui bénéficie d’un rayonnement international accru suite à un partenariat mis en place avec la AEW. Une décennie après des premiers pas ratés, les portes de la télévision américaine s’ouvrent à nouveau, offrant à Mistico la possibilité de corriger le tir devant un public cette fois-ci bien plus respectueux de ses accomplissements et des racines culturelles dont il se fait l’étendard.

Aujourd’hui, la lucha libre jouit d’un nouvel âge d’or tout en devant composer avec les défis de la mondialisation et un capitalisme déchaîné toujours plus carnassier. Son immense popularité et son exposition inédite en font inévitablement un objet de convoitise. Car entre appréciation et appropriation, il n’y a qu’un pas. La WWE, en rachetant la AAA, a lancé une offensive sur tout un pan de l’identité mexicaine, mettant la main sur une pratique à l’origine subversive pour en faire un spectacle inoffensif, dépourvu de son sens social, exploitable et utilisé à des fins commerciales. Un détournement par le monde néolibéral dont souffre une quantité considérable de traditions non occidentales face à la voracité d’une culture dominante autoproclamée. Un obstacle de plus auquel va devoir faire face une discipline bien décidée à se battre pour conserver son authenticité. Avec Mistico en chef de file et une nouvelle génération menée par Mascara Dorada, la CMLL se dresse comme un bouclier face à l’envahisseur. Avec une volonté commune à celle de son peuple : ne plus jamais tenir un rôle de subalterne.

Texte : Le Dernier Rang
Crédit photos : CMLL

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